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Sophrologie-Neuilly          Juliette Huot-Fadda

Timidité, trac, stress, préparation aux examens, anxiété, émotivité, troubles du sommeil, relations difficile... APPRENEZ rapidement à vous relaxer, à mieux vous concentrer, à être moins fatigué, à bien gérer le stress, à maîtriser vos émotions, à améliorer votre sommeil, à mieux vous connaître...VENEZ DECOUVRIR LA SOPHROLOGIE contact 06 14 45 29 22

Prenez soin de votre sexualité

Nous voici entrés dans l'automne, cette période charnière pendant laquelle la nature se prépare à se mettre en veille. La luminosité naturelle diminue de jour en jour et notre corps le ressent. 

Durant cette période il est important d'être attentif à nos propres besoins, et prendre le temps de nous motiver pour garder le corps et l'esprit en action. 

DSC 1765La sexualité est souvent un reflet de notre état psycho-corporel. Et notre état psycho-corporel est en lien avec notre manière d'accueillir les différents événements de notre vie. 

Dans l'article suivant, C. Aliotta nous explique bein que notre regard sur nous même et notre stress influence notre sexualité :


"SEXUALITE : RETROUVER LE DESIR PAR LA SOPHROLOGIE 

Dans une société du désir où les corps sont sans cesse érotisés, il est parfois difficile de trouver sa propre harmonie. La pression mise sur les couples, la consommation amoureuse via les multiples sites de rencontres peuvent nous faire perdre la tête. Et comme la sexualité est avant tout une affaire de personne, la sophrologie vous aide à mieux écouter votre corps.

S’aimer pour mieux aimer  

Le sexe est le fondement du couple, cet adage souvent répété n’est pas dénué de sens : selon un sondage IFOP, 36% des Français considèrent que les problèmes sexuels sont néfastes pour l’entente de leur couple. Pourtant, 24% d’entre eux déclarent avoir déjà inventé une excuse pour dissimuler un problème et éviter un rapport. Dans un article dédié à la baisse de l’attirance, la journaliste Margaux Rambert affirme : « Loin devant les problèmes érectiles, d’éjaculation précoce ou de simulation d’orgasme, la diminution du désir est considérée comme le trouble majeur de la sexualité, pour près d’une personne sur deux. » Comment expliquer ces difficultés ? Les théories sur le déclin de notre envie de l’autre causée par le temps qui passe sont nombreuses, mais se révèlent souvent fausses. Non, le désir n’est pas condamné à s’émousser et à disparaître. Mais pour cela, il faut le cultiver et l’entretenir.

L’inhibition du désir n’est pas forcément due à l’autre, elle s’explique le plus souvent par une perception négative de notre propre corps. Complexes, timidité, peurs ; les freins sont nombreux. S’aimer et s’accepter permet de lâcher prise et d’être en confiance. Il faut apprendre à réinvestir son corps pour permettre à notre désir de s’exprimer. Mais ce n’est pas chose facile : la dualité contemporaine entre le corps et l’esprit, les diktats de la mode, augmentent le malaise. De plus en plus d’hommes et de femmes disent vouloir changer telle ou telle partie de leur corps. Ce fantasme de transformation nuit à notre bien-être. Il faut apprendre à accepter son corps et ses évolutions.

L’approche sophrologique, à travers des exercices simples, permet de se reconnecter à soi, d’être à l’écoute de ses perceptions sensorielles et de se redécouvrir. Le désir et le plaisir sont aussi une affaire d’espace mental et d’ouverture au monde alentour. D’autant que la sexualité n’est pas un simple besoin animal, une pulsion primaire, elle est aussi source de bien-être, de confiance en soi et d’épanouissement. Forme privilégiée et intime de notre rapport à l’autre, la sexualité joue un rôle déterminant dans l’acceptation de soi.

 Le stress, ennemi numéro 1

Il est certain qu’il faut être disponible pour soi-même et pour l’autre afin de retrouver une sexualité heureuse et épanouie. Trouver le temps, pris dans une routine, happé par les angoisses liées au travail ou à la famille, n’est pas toujours facile. Selon le même sondage IFOP, 57% des personnes interrogées imputent leurs problèmes sexuels au stress ou à des préoccupations. Les contraintes de la vie moderne ont un effet négatif sur la sphère intime. Pour la psychosexologue clinicienne Claudine Decaux, le constat est sans appel : « La notion de stress a évolué depuis le siècle dernier, ainsi que les rôles dans le couple et la place de l’individu dans celui-ci. En effet, il semblerait que nous soyons de plus en plus stressés, de par la multiplicité des obligations sociales et personnelles que nous nous demandons au quotidien, ce qui implique des stress extérieurs (travail par exemple) et intérieurs (performance en tant que femme, homme, époux(se), amant(e), parent) qui mènent à l’entretien de distorsions cognitives sur tous ces aspects. On peut imaginer que cette évolution ne va pas cesser de progresser dans l’avenir, à moins d’en prendre conscience et de passer à l’action pour l’endiguer. » Endiguer, le mot est juste ; c’est pour cela qu’il faut apprendre à se relaxer, trouver, une fois rentré chez soi, l’espace nécessaire pour se détendre et couper avec les tracas du dehors. D’autant que le stress impacte autant le désir que la jouissance.

C’est là que la sophrologie peut intervenir : relâcher les tensions, restaurer son énergie sont des conditions sine qua non pour retrouver un confort amoureux. Des exercices simples, fondés sur la respiration et la détente musculaire permettent de libérer notre corps des tensions subies pendant la journée et de retrouver ainsi désir et bien-être, dans notre rapport à nous-même, et à l’autre. "

vous pouvez retrouver cet article dans le "journal des Femmes. com" link


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